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Hey guys. I just read this following article on French yahoo news, a novel written by Ignacio del Valle about the hunt for a murderer in the Division Azul. Sounds like some BS, but could be interesting:
Viva la muerte sur le front russe<O></O>
CritiqueLa division Azul dans un roman noir d’Ignacio del Valle<O></O>
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Réagir <O></O>
Par JEAN-PIERRE PERRIN <O></O>
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Ignacio del Valle<O></O>
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Empereur des ténèbres<O></O>
Traduit de l’espagnol par Elena Zayas. Phébus, 370 pp., 24 €.<O></O>
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La Parrala, c’est le surnom d’une grande chanteuse de flamenco des années 1900. C’est également celui donné par les volontaires espagnols aux Chtourmovik, ces monoplans soviétiques qui apparaissent par surprise pour mitrailler et bombarder tout ce qui bouge et dont le «feulement rauque» fait penser à la célèbre voix. Leningrad est à portée de canons. Et cette partie de l’immense front russe a été confiée à la division Azul, une légion de damnés réunissant militaires franquistes et phalangistes, qui se bat aux côtés de l’armée allemande et compta jusqu’à 46 000 hommes. La guerre est salement là, l’hiver, le terrible hiver de 1943, aussi. Et il y a pire encore : à la marge de ces croisés du Caudillo opèrent les Einsatzgruppen, des bandes de SS allemands chargés de l’extermination des prisonniers de guerre, des Juifs, des handicapés et même des civils russes et dont la sauvagerie sans limite horrifie les soldats espagnols pourtant trempés par la longue guerre civile qu’ils sont venus poursuivre en Union soviétique en combattant aux côtés de l’Allemagne nazie. Sur ce front, l’enfer a pris tous les visages : celui du froid, de la faim, de la misère, de l’atroce bataille qui se prépare, des massacres et de la cruauté. Si on veut l’oublier un temps, il n’y a guère que le réconfort des prostituées russes qui sont autant d’espionnes au service de l’armée Rouge. Si on veut le fuir, il n’y a que la violeta, variante de la roulette russe où, après chaque tournante, on ajoute une balle dans le barillet. L’enveloppe du roman est là : une fresque terrible, effroyable, hantée par l’omniprésence du mal. L’Apocalypse n’est pas loin.<O></O>
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Arriviste. Dans cette division Azul, le passé, celui précisément de la guerre civile, pèse encore sur les mémoires. Et les horreurs commises à cette époque ne sont pas abolies par l’horreur du présent - «Parce que le mal est une vieille connaissance, parce que le mal a un cœur humain.» Certaines consciences souffrent, parfois cherchent à expier par la violeta. Mais la vengeance est aussi à l’œuvre. D’où une série de crimes dont sont victimes certains combattants qui, tous, ont participé au précédent conflit. A chaque fois, la victime a été tuée selon un rituel maçonnique et sur son épaule une phrase, qui évoque un châtiment divin, a été gravée à la lame : «Prends garde, Dieu te regarde.» Pour trouver l’assassin, l’état-major franquiste confie l’enquête à un officier dégradé pour avoir commis plusieurs meurtres dans le passé, l’ex-lieutenant Arturo. L’homme est dur, courageux, arriviste. Fou amoureux d’une beauté nazie inaccessible, il est capable de violer en réaction une prostituée russe, mais aussi de compassion au point de risquer sa peau pour sauver un gamin des Einsatzgruppen. Il est parfait pour cette enquête, menée sous les salves de l’artillerie russe, qui va le mener dans les bas-fonds d’une troupe empêtrée dans une guerre abominable et un hiver qui ne l’est pas moins. «Arturo sortit […] en reléguant ses remords dans un coin de sa mémoire. C’était une de ces aubes maussades, couleur de cendre où la diane implacable vous réveille sans ménagement. De minuscules flocons tombaient encore, sans grande précision rythmique, comme les dernières touches hésitantes déposées çà et là sur la pureté créatrice de la neige […]. En toile de fond, la guerre continuait dans une débauche de tirs de mitrailleuses, de canons et de mortiers.»<O></O>
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«Hadès glacial». Arturo va donc traquer l’assassin franc-maçon à peu près partout, des premières lignes aux abattoirs ou aux services postaux de la division. A travers son enquête, c’est toute une armée en campagne qui se découvre. C’est aussi tout le front russe qu’il visite et dont il donne une vision quasiment métaphysique, tout comme l’horizon russe, «Hadès glacial», où il ne voudrait surtout pas mourir. Mais la part la plus fascinante de ce roman, à la fois thriller et fresque historique - le premier traduit en français d’Ignacio del Valle, un jeune écrivain espagnol -, est dans cette galerie des damnés de la guerre, tous singuliers, tous étonnants, engagés dans la division Azul qu’il nous fait découvrir. A commencer par le sous-officier assassin. «Il laissa le sergent émerger lentement de son terrible abîme ; en suivant son cortège de péchés, il se rendit compte qu’une telle accumulation d’impuretés lui rendait sa pureté, le libérait de tout péché. Et la haine qu’Arturo avait pu éprouver à son encontre pâlit en s’atténuant, une haine qui ne noircissait plus son sang.»<O></O>
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Google online translation :
"La Parrala" is the nickname of a great flamenco singer of the 1900s. It is also the one given by the Spanish volunteers to Chtourmovik, these Soviet monoplanes that appear by surprise strafing and bombing everything that moves and how the "only harsh" suggests the popular vote. Leningrad is within range of guns. And this part of the vast Russian front has been entrusted to the Division Azul, a legion of the damned together military and Francoist Falange, who fought alongside the German army and had some 46,000 men. War is dirty here, the winter, the terrible winter of 1943, too. And it gets worse: at the margin of the crusaders of the Caudillo operate the Einsatzgruppen, the German SS bands responsible for the extermination of prisoners of war, the Jews, the disabled and even Russian civilians and whose brutality horrifies unlimited Spanish soldiers yet tempered by the long civil war they came to the Soviet Union continue fighting alongside Nazi Germany. On this front, hell took all the faces: the cold, hunger, poverty, the terrible battle that is coming, killing and cruelty. If you want to forget one time, there is little comfort that the prostitutes are all Russian spies in the service of the Red Army. If you want to run away, there is only violeta variant of Russian roulette where, after each turning, we add a bullet in the barrel. The envelope of the novel is this: a fresco terrible, horrible, haunted by the omnipresence of evil. The Apocalypse is not far. "
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Careerist. In this Division Azul, the past, specifically the civil war still hangs over the memories. And the horrors committed at this time are not abolished by the horror of this - "Because evil is an old acquaintance, because evil has a human heart." Some minds are suffering, sometimes seek to atone by violeta. But revenge is also at work. Hence a series of crimes that affect certain fighters who all participated in the previous conflict. Every time the victim was killed in a Masonic ritual and on his shoulder a phrase that evokes a divine punishment, was engraved with the blade: 'Beware, God is watching you. "To find the murderer, the Staff Franco says the investigation to an officer degraded for having committed several murders in the past, the former lieutenant Arturo. The man is tough, courageous, ambitious. Crazy in love with a beautiful Nazi inaccessible, it is capable of raping a prostitute in Russian reaction, but also compassionate to the point of risking his neck to save a boy of the Einsatzgruppen. It is perfect for this survey, conducted by the Russian artillery salvos, which will lead in the shallows of a company mired in a terrible war and a winter that is not less. "Arturo went [...] in relegating his remorse in a corner of his memory. It was one of the blades sullen, ashen when the reveille wake you relentless bluntly. Tiny flakes were still falling, without much rhythmic precision, as the finishing touches here and there hesitant deposited on the creative purity of snow [...]. In the background, the war continued in an orgy of machine gun fire, artillery and mortar. ">>
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"Hades cold. Arturo will then track the murderer Freemason almost everywhere, from the front lines to slaughterhouses or postal services division. Through its investigation, an entire army in the field that can be discovered. It is also the Russian front while he visits and he gives an almost metaphysical vision, like the Russian horizon, "Hades cold", where he really wants to die. But the most fascinating part of this novel, both thriller and historical epic - first translated into French by Ignacio del Valle, a young Spanish writer - is this gallery of the wretched of the war, all unique, all amazing committed to the Division Azul that we discover. Starting with the NCO murderer. "He let the sergeant slowly emerge from the terrible abyss, following its trail of sins, he realized that such accumulation of dirt he made his purity, freed from sin. And hate that Arturo had been feeling against him pales in diminishing, a hatred that blackened more blood. ">>
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"Hey guys. I just read this following article on French yahoo news, a novel written by Ignacio del Valle about the hunt for a murderer in the Division Azul. Sounds like some BS, but could be interesting:"
Hey guys, I underlined the key words in what I posted earlier.
I think we can all be mature enaugh to understand that the abstract for a novel from yahoo news is just that: an abstract for a noval, and not a political statement.
It can be interesting to know what is being writen, we dont have to agree with it, or censore it...
JL
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